Série LAdultère : (Partie 15). Gwladys Et Les Rugbymans.
Je mappelle Gwladys, jétais à lépoque, une femme de 25 ans (aujourdhui 40), mariée depuis un an, à Félix un joueur de rugby dans un club de 3e division nationale. Jétais une femme de : 1,62 m pour 53 kilos, une poitrine avantageuse que beaucoup dhommes auraient bien aimés prendre dans leurs mains. Avec des cheveux fins, blonds assez raides, mes yeux bleus, ma bouche souriante, jétais souvent courtisée. Je métais mariée avec Félix un an plus tôt après lavoir connu pendant deux ans auparavant.
Avant de connaitre mon mari, javais eu de très nombreuses relations sexuelles, jadorais coucher avec de beaux mecs que je choisissais pour leur physique et non pas par amour. Pourtant il métait déjà arrivé une fois, avec une amie en discothèque, après avoir un peu trop bu ma copine me mit au défi. Elle choisit un type et je devais lallumer. Il ne me plaisait pas mais javais accepté sachant que je nirais pas jusquà coucher avec lui. Avec ma tenue et ma façon de lavoir abordé, je savais que je nétais quune allumeuse.
Après une bonne demi-heure, lorsquil avait commencé à me peloter les fesses, je lavais repoussé doucement mais je continuais à danser à côté de lui, il avait recommencé, jessayais de le remettre en place. Mais là, ce ne fut pas facile, le gars mavait suivi aux toilettes, il insista en me coinçant contre le mur du couloir pour me tripoter, je me débattais, mais il était très déterminé, je fus contrainte de céder, il mattira dans une cabine et mavais sodomisée. Je ne peux pas dire que je métais fait agresser car je lai suivi et jai fait ce quil me demandait, javais assumé dêtre prise comme il la fait.
Je nétais pas lesbienne et pourtant, deux ans avant de connaitre Félix, javais rendez-vous avec une dame : Stella. Elle me fit visiter sa demeure dans le cadre de mon travail. Cétait une belle femme blonde de 42 ans, encore très bien faite, très dominante et au moment où nous visitions la chambre, elle me dit :
Tu me plais petite salope.
Très impressionnée par cette créature depuis plus de vingt minutes, je métais laissée emporter et subit avec tendresse et bonheur les caresses et la bouche de la lesbienne mature, jappréciais, « cétait trop bon » me disais-je. La relation avec cette femme avait duré pendant trois mois. Stella voulait que je devienne sa seconde soumise, car elle en avait déjà une à la maison, très effacée elle nous regardait faire lamour sans intervenir sans un ordre de sa maitresse.
Elle venait juste lorsque Stella dun ton sévère lui ordonnait. Toujours nue munie de son collier de cuir noir, à quatre pattes, elle se déplaçait et venait lécher la chatte et le cul de sa maîtresse comme une bonne chienne. Puis Stella lui disait de me faire la même chose, je trouvais cela délicieux. Mais je regrette la volonté de Stella qui me voulait pour elle toute seule, elle ne supportait pas je couche avec des hommes, elle voulait même que je minstalle chez elle. Jai dû arrêter de la voir mais je garde, un très bon souvenir de cette relation.
Javais profité de la vie, ainsi une fois avec Félix, je me consacrais uniquement à lui car ce fut le seul homme que jaimais vraiment. Mon passé de salope comme certains disaient, où je prenais mon plaisir sexuellement avec des partenaires dun soir que je rencontrais par hasard, était révolu. Jétais devenue une femme fidèle ou presque.
Jusquau jour où je fis la rencontre de trois frères : Pierre, Jérôme et Martial. Trois rugbymans troisième ligne, des hommes beaux et dun bon gabarit. Je ne venais jamais aux troisièmes mi-temps avec Félix, le match était laprès-midi à 15 heures et il mavait promis de rentrer pour aller à la dernière séance de cinéma. Jétais prête, je portais une jupe courte et un body en dentelle sombre. Ne le voyant pas, je métais inquiétée, je décidai daller le rejoindre à leur local.
Mais comme il faisait presque nuit et que jétais assez loin, je nen étais pas certaine. Je ne connaissais personne dans ce bar, une trentaine de mecs et très peu de femme, je vois enfin Olivier le copain de Félix en pleine discussion avec trois types, des colosses. Après lui avoir demandé où était Félix, javais appris quil était parti raccompagner un dirigeant et sa fille et quil devait rentrer. Je ne le crus quà moitié, jétais persuadé quil me cachait quelque chose.
En attendant, un des trois rugbymans, moffrit un verre et discuta avec moi laissant les deux autres finir leur discussion. Félix ne revenait toujours pas, Olivier était rentré et je me retrouvais toujours avec Pierre devant mon troisième verre de whisky. Jétais furieuse, jétais certaine que mon mari mavait trompée, assise sur le grand tabouret face à lui, il posa sa main sur ma cuisse. Au lieu de lui enlever, jécartai un peu plus les cuisses. Il me fit une bise sur la bouche que je navais pas refusée, sa main remontait plus haut sous ma jupe, jusquà atteindre mon intimité et je me laissais tripoter sans rien dire, grisée par lalcool et lesprit de vengeance. Pierre avait bien compris que jétais pour lui une fille facile :
Ne restons pas là, tu me ramènes chez-moi ?
Tu nas pas de voiture ?
Mes deux frères me la ramèneront.
Dès le départ en le montant dans ma voiture, je me doutais bien, ce qui allait marriver. Après cinq minutes de conduite, comme je my attendais, Pierre passa sa main sous ma jupe pour atteindre mon sexe :
Hum !!! Gémis-je
Je savais que tu nattendais que ça.
Pendant tout le voyage, ses gros doigts navaient pas quitté ma chatte qui à larrivée était trempée. De mon côté je lui caressais le sexe dressé, entre chaque changement de vitesse.
Bon ! on va samuser un peu. Dit Pierre en mattrapant par la taille.
Dune main ferme, il me porta et me déposa sur le canapé en cuir noir, le cul sur le bord du coussin. Sachant ce que devais faire, je me couchai en arrière et écartai les cuisses en relevant ma jupe et en enlevant mon string, laissant apparaitre mon sexe légèrement velu, mouillée par lexcitation. Pierre sortit son bâton de berger enfila sa capote et après lavoir frotté quelques instants sur ma chatte, il me pénétra avec force :
Putain tes gros, je ne pensais pas
Dis-je en gémissant.
Tu vas voir salope, tu ne vas pas être déçue. Tes trop bonne.
Jétais aux anges, jadorais cette entrée en matière, je retrouvais ce que javais vécu quelques temps auparavant. Il allait et venait sans ménagement en râlant et en minsultant. Puis il me retourna comme une crêpe, javais ma tête et le tronc plaqués aux coussins et le cul à lair. Il prit sa queue dans la main, posa son gland sur mon anus poussant de son doigt cherchant à me sodomiser. Il était parvenu à menculer de la même manière toujours en poussant des grands râles :
Ohhh !!! Ahhh !!! Oui ! tes quune pute une vraie chienne, tiens prends ça ! Ohhh !!! Ahhh !!!
Après avoir enlevé sa capote, il finissait de gicler tout son sperme dans la raie de mes fesses, sous mes cris de plaisir, lorsque les deux frères se retrouvaient dans le salon, juste à côté de moi. Martial nous dit :
Faut pas se gêner les amoureux, vous auriez pu nous attendre. Comment elle est la salope ? Demanda-t-il en sadressant à son frère.
Martial était le plus jeune des trois, il déboutonnait déjà son pantalon en me fixant dans les yeux, je remarquai que sa bite, malgré quelle soit au repos, était plus grosse que celle de Pierre.
Moi aussi je veux me la taper cette pute. Dit Jérôme
Attends ton tour, tu vois bien quelle est occupée à sucer le frangin. En attendant que Martial la saute, buvons un coup.
Elle me fait déjà bander cette chienne.
Elle a peur de rien, tu vas voir, ça cest une salope qui aime le cul.
Pendant que les deux hommes avalaient leur whisky, je léchais, suçais et avalais jusquà la garde la belle queue du jeune géant dun mètre quatre-vingt-huit. Sa bite était prête, il sortit sa matraque de mes lèvres, me bascula sur le canapé et comme son frère dix minutes avant, il me besogna, me laboura, ma chatte mouillait de plus belle sous mes gémissements de plus en plus rapides et de plus en plus forts :
Tu aimes ma queue dans ta chatte salope. Me dit-il en enfonçant son pouce dans son anus.
Oh oui ! Encule-moi. Répondis-je, impatiente.
Retourne toi sale chienne, si tu veux que je te défonce le cul.
Aussi sauvagement que Pierre, Martial sactiva dans mon rectum et éjacula dans ma raie en même temps que je jouissais une nouvelle fois :
Cétait trop bon, jaime déjà ta bite, réserve-toi pour tout à lheure.
Tinquiète la pute, tu en reprendras bientôt.
En revenant, Jérôme prit la place de son jeune frérot et me baisa de la même façon. Lorsque je métais relevée, jétais satisfaite et tout sourire, le sperme coulait le long de mes jambes, en allant aux toilettes :
Regardez ça, elle aime ça cette femelle, elle ne sessuie même pas.
Sans les écouter faire leurs commentaires salaces et grivois, je passai devant eux pour me diriger vers la salle de bain. Javais fait un besoin urgent, je me passai un peu deau sur le visage, je récupérais petit à petit, je savais que ce nétait pas encore fini et que les trois guerriers étaient bien capables de me reprendre avant que je quitte les lieux. À priori, je ne les laissais pas indifférents et en redemandaient. À tour de rôle, leurs mains sous ma jupe, me caressaient mettant en évidence mon arrière train :
Ce nest pas possible comme tu aimes ça. Tes incroyablement salope. Dit Pierre qui semblait être un peu le chef.
Nous nous trouvions désormais dans une grande chambre. Les trois frères mavaient encerclée en me mettant entièrement nue et sétaient mis à se frotter contre moi, mentourant et me collant de plus en plus près. Jétais dans un état second, je levai les bras pour caresser la nuque de Martial qui se plaquait dans son dos, tandis que Pierre, face à moi, pressait son buste poilu contre mes seins et effleurait mon cou avec sa bouche. Jérôme, sur le côté, prenait mon visage dans ses mains pour membrasser. Docile, je mabandonnais totalement à leurs caresses.
Jérôme me pelotait les seins et les embrassait. Je moffrais à leurs mains et à leurs bouches. Des doigts sentremêlaient dans ma chatte et mon cul. Je poussais des gémissements de plus en plus lascifs. Puis, javais demandé aux trois frères de me prendre en même temps. À quatre pattes sur le lit, je métais ouverte à leurs assauts. Pierre mavait pénétrée en levrette en tenant bien mon cul entre ses mains et en claquant mes fesses régulièrement, pendant que Jérôme me caressait le clitoris par en dessous alors que Martial enfonçait sa queue dans ma bouche. Je le suçais tout en me faisant baiser. Jétais dans mes pensées, en plein fantasme limage de voir mon corps malmené ainsi entre les trois géants qui soccupaient de moi, pénétrée par mes deux extrémités me fit jouir. Puis Pierre derrière avait entrepris de me sodomiser. Il avait progressivement envahi mon cul avec sa queue qui bandait fort une nouvelle fois.
Je me cambrais à nouveau vers lui pour offrir mon derrière. Jérôme qui soccupait de mon bouton en avait aussitôt profité pour venir mettre ses doigts dans ma chatte humide. Tout mon corps était arqué sous ce plaisir dêtre pénétrée par tous les trous. Je métais allongée sur le côté et avait exigé une double pénétration. À grand renfort de lubrifiant de ma propre jouissance et de patience, les deux frangins ne sétaient pas fait prier, Martial et Pierre les deux plus jeunes sétaient enfoncés en moi et tour à tour faisaient des allers et retours dans ma chatte et mon cul, me faisant râler de plaisir, pendant que Jérôme qui ne bandait pas encore suffisamment, me caressait le visage et membrassait, tout en se branlant lui-même :
Prends donc ma bouche ! Tu banderas plus vite. Dis-je.
Ses trois trous étaient obstrués par trois bites, elle était comme dans un rêve, elle adorait ça. Les trois rugbymans volontaires, avaient fini par se branler au-dessus de moi qui venait de prendre un énième orgasme fulgurant et ils jouirent sur mon ventre et mes seins quasiment à lunisson, une vraie douche de sperme. Continuant à me masturber, javais hurlé de plaisir en même temps quils menvoyaient leur semence.
Jétais épuisée et eux satisfaits, les couilles vides. Après avoir passé sous la douche et prit un café, jétais repartie. Heureusement, pendant les vingt-cinq minutes de route, je navais pas croisée les gendarmes. Il était trois heures du matin lorsque je métais mise au lit. Félix dormait déjà, je métais endormie comme une masse.
Le lendemain en fin de matinée, lorsque mon mari mavait demandé où jétais passée et avec qui jétais, javais pris les devants en lui disant :
Et toi ? tas bien baisé avec la petite pute qui était dans ta voiture ?
Que dis-tu ? Elle a quatorze ans, je lai ramené avec son père qui était bourré, il dormait à larrière dans ma bagnole. Et je suis rentré directement.
Merde ! Excuse-moi, jétais tellement furax après toi, que je suis sortie en boite avec Agnès et Julie.
Olivier ma dit que tu étais bien proche dun joueur adverse au local, tas couché avec ce type ?
Sous la pression et ses questions incessantes, je lui avais alors tout avoué. Lui pour se venger, mavais dit quil navait pas baisé la fille mais la femme du dirigeant. Suite à cela, chacun faisait un peu ce quil voulait, notre mariage navait pas tenu, trois ans après nous étions divorcé.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Gwladys vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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